vendredi 18 décembre 2009

Payer son parking avec un mobile: C'est Issy et maintenant

... Depuis le 15 décembre, payer par téléphone mobile son stationnement est désormais possible. Plus besoin de monnaie ! Vous payez seulement la durée exacte de votre stationnement et, en cas de besoin, vous pouvez prolonger à distance votre durée de stationnement. Cela se passe à Issy-les-Moulineaux,...


image https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWQeka54BcUMVH4NvHUaebcxBt3uDH49Z3rwQvmDlwfG9RMCy17KAMwlSxYM9Y4R43BPu1U3JvQ2qy-XSpJweZcOt3rVwJAnEYxe7CBpwB7sp4wGjEbkNBBhZxNBanbx47-jmC2O96kouy/s1600-h/Issy+Paybyphone3.jpg

les leçons d'un lancement d'apps

Un très bon article instructif sur businessmobile.fr
Par Olivier Chicheportiche mailto:olivier.chicheportiche@cbs.com


businessMOBILE.fr le 17 décembre 2009

De l'idée de départ à la vente sur l'App Store, des négociations avec Apple aux espoirs déçus, une jeune équipe française dévoile ses secrets.
On le sait, l'App Store d'Apple est une formidable place de marché pour les éditeurs d'applications et les développeurs. Et pour certains, l'histoire se transforme en véritable jackpot.
Pour autant, si on compte plus de 100 000 applications dans la boutique, une faible minorité se paye la part du lion en termes de ventes et donc de revenus. Pour les autres, la partie est parfois plus difficile, malgré une bonne idée de départ.
Quelle est la réalité pour ces développeurs et ces petites équipes en quête de succès ? Ils sont peu nombreux à livrer leurs secrets. Une équipe française a donc décidé de lever le voile sur l'arrière boutique de l'App Store. De quoi tirer un bon nombre d'enseignements pour éviter des erreurs qui peuvent être très pénalisantes.
Merci à Simon Dawlat, chef de projet et créateur du site applicationiphone.com pour ces informations.

Genèse de l'application iPilule

Imaginée par une petite équipe de 4 personnes, l'application payante iPilule exploite une bonne idée : une alarme intelligente et qui rappelle aux filles de prendre leur pilule contraceptive, via des notifications push et de manière adaptée à leur cycle menstruel. En moins d'un mois, l'application est développée.

Plein d'espoirs, l'équipe de développement croit à la force de son projet : "En visant les blogs dédiés à l'iPhone, les magazines féminins/santé/style de vie et les blogs de fille, nous avions de bonnes chances de toucher les acheteuses potentielles de l'application", écrit Simon Dawlat.

Les quatre partenaires sont néanmoins réalistes et estiment la population susceptible d'acheter l'application à 148 500 personnes. "Dans l'absolu : c'est très peu. Si on part du postulat qu'on réussira à toucher 10% de ces femmes (14 800) via notre communication, et à en convertir en clientes, mettons, 5% (7040), cela nous fera 7 040 x 0,79 € = 5 561 € de revenus potentiel".

En retirant la dîme d'Apple, on atteint 3 893 euros. "Qu'à cela ne tienne, convaincus de notre idée et surtout de notre capacité à la réaliser ayant réuni une team aux talents parfaitement complémentaires, on lance le projet", explique le chef de projet.

Les débuts sont rassurants. Contrairement à ce qui se dit, la validation de l'application par Apple ne prend pas trop de temps, 19 jours pour être précis. Le même jour, l'application est donc officiellement en vente sur l'App Store.
Mais à ce moment, l'équipe de développeurs commet sa première erreur en ne communiquant pas pour des "raisons personnelles et logistiques". "Du coup, nous ratons le pic de ventes qui arrive à toute application au moment de sa sortie, puisqu'elle passe en page d'accueil de sa catégorie dans l'AppStore (également agrégée en 'nouveautés' par des dizaines de sites dans le monde qui reprennent automatiquement les données de l'AppStore). Et nous passons à coté de cette impulsion dans les ventes, qui se fait sans nous", note le chef de projet.
Le résultat est sans appel : après 11 jours de commercialisation, iPilule a été téléchargé seulement 112 fois, soit un chiffre d'affaires royal de 61 euros pour l'équipe.
1er enseignement : exploiter au maximum la visibilité de l'application dès les premiers jours.
La suite des événements est à l'avenant. "Je reçois un inquiétant email via Apple le 4 décembre évoquant la possibilité d'un conflit de copyrights avec l'application d'un autre développeur. Je contacte ce dernier rapidement pour tenter d'éclaircir la situation et si possible régler ce problème à l'amiable. Il s'avère que ce développeur pense qu'Apple retire de l'AppStore toutes les applications aux concepts trop similaires - une confusion avec le fait qu'Apple a tendance à retirer les applications trop similaires aux siennes.
Le dialogue est peu cordial mais existant et nous sommes accusés par ce développeur de l'avoir copié honteusement. Des commentaires négatifs fleuriront par la suite sur presque tous les articles parlant d'iPilule et même dans l'AppStore, auxquels nous décidons de ne pas répondre".
2e enseignement : analyser l'existant avant de développer une application

L'équipe d'iPilule avait bien repéré des applications rendant le même service. Mais elle avait considéré qu'en proposant un produit plus complet et plus efficace, elle éviterait ce type de problèmes. Raté.
Dans le même temps, malgré une offensive de communication, les ventes peinent à décoller : seulement 24 ventes sont réalisées en une semaine. La déprime gagne l'équipe...
Mais les efforts commencent à porter leurs fruits notamment grâce à la publication d'articles dans la presse spécialisée en ligne. Les ventes grimpent à une centaine par jour ce qui permet à l'application de se hisser en troisième position du classement de la catégorie Styles de Vie de l'App Store. Le cercle vertueux se referme.
Par contre, la publication d'une brève dans le magazine Elle (qui tire pourtant à 300 000 exemplaires) n'a pas d'effets ponctuels sur les ventes. Ce qui constitue une surprise et une déception.
3e enseignement : le travail de relation-presse est plus rentable sur internet
le travail de relation presse semble stratégique, notamment pour des applications très spécialisées. Mais visiblement, la presse en ligne semble beaucoup plus 'rentable' que la bonne vieille presse papier.

"La logique d'un lancement fort, combinant des relations presse et de la publicité sur des sites spécialisés, pour monter dans les classements de l'AppStore, est un procédé dont l'efficacité est désormais avéré", souligne le chef de projet.

En fait le salut viendra d'Apple himself qui décide de placer iPilule en première page de l'App Store. Résultat, les ventes bondissent de 70%. Mais si le bilan s'améliore : 1059 ventes en 10 jours, soit 585 euros pour l'équipe, les résultats demeurent encore faibles.
"Vivre de l'AppStore n'est pas chose aisée puisque pour le moment, après commission d'Apple et avant impôts, iPilule nous a rapporté exactement 660 euros", observe Simon Dawlat.
Le jeu en vaut-il alors la chandelle ? Pour Simon Dawlat, excepté les erreurs de jeunesse commises, la clé du succès se trouve peut-être dans la déclinaison de l'application. "Une logique globale est essentielle - si notre 'succès' avait été répliqué dans 10 autres pays dont les US, nous serions riches à l'heure qu'il est ! Malheureusement, malgré une application traduite en 7 langues (!) nos efforts hors de France sont restés vains, et les ventes dans les autres Stores, quantités négligeables".

Bref, la route est longue jusqu'au succès, et il faut y mettre le prix

http://www.businessmobile.fr/actualites/services/0,39044303,39711644,00.htm

les outils et apps de paiement se multiplient. Ala fin je fais comment pour payer ?

mpayy propose une apps Android pour payer. A la fin face à la multiplication des apps en général et des apps de paiement en particulier il va devenir compliqué de s'y retrouver entre toutes ses propositions (fournisseurs d'accés ou opérateurs - orange, free, etc... , fournisseurs de paiements comme les outils ci-dessous, les "anciens grands réseaux" visa mastercard, amex etc..., les banquiers, les sociétés financières, les retailers et leurs cartes "privatives", les e-commerçants). help je veux juste payer.
https://www.mpayy.com/mobile-payment-solutions/android-application

will we be sorry too ?



mardi 15 décembre 2009

je dépense donc tu suis: achats exhibitionnistes

Jusqu'ou iront certains dans la course effrénée à l'exhibitionnisme. Apres ce que je fais ou je suis comment je vais et autres twits passionnants, un site se lance en version beta pour vous permettre de montrer à vos amis vos dépenses. Bref ça revient à twitter ses achats. je suis sur que cela passionnera tout le monde et vos copains de savoir combien vous dépensez chez monop, ou à la fnac, virgin ou autres amazon. c'est trop cool comme dirait l'autre.
http://www.blippy.com/
source: techcrunch: http://www.techcrunch.com/2009/12/11/blippy/

paiement sans contact: nokia se lancerait en 2010

NFC Nokia se lancerait l'an prochain car ils anticiperaient une diffusion large au UK en 2012
Nokia Industry Collaborations VP Mark Selby told Mobile: "Nokia is anticipating multiple NFC-enabled devices, which won’t all be at the high end of the market. Our plan is to see NFC in lots of devices, not just smartphones."
Selby declined to say when or how many NFC devices Nokia plans to launch, but said he anticipated that UK consumers will be widely using NFC devices by 2012.
One source close to Nokia said: "In Q3 and Q4 of next year we will see Nokia going into NFC in a big way. They will be bringing forward a lot of phones with embedded NFC
source: http://www.nearfieldcommunicationsworld.com/

jeudi 3 décembre 2009

mini questionnaire et maximiles -isation de de la valeur

pour noel maximiles nous offre un questionnaire de qualification en collectant des informations sur les projets des adhérents au delà des cadeaux que l'on souhaite offrir en cette fin d'année. Ainsi mon intention de changer de voiture, mon envie de changer de banque (ou d'opérateur téléphonique, ou encore mes habitudes de voyages semblent les intéressés. Rien de bien nouveau ou de révolutionnaire me direz-vous. Il n'empêche. La qualification des porteurs ou adhérents et donc l'accumulation d'information reste la matière première de ces systèmes (en plus des données comportementales).


Tout naturellment, les projets des "gens" passionnent donc de plus en plus d'intervenants. Car au delà du people project d'orange, plusieurs sites proposent des "planners" qui visent à nous aider dans la réalisation de ces envies, leur organisation ou leur financement. Ainsi chase (une fois de plus) avec son gift planner (application i-phone bien sur)(http://itunes.apple.com/us/app/gift-planner/id296890813?mt=8)

L'informatique réchauffe les coeurs

Selon reuters les Finlandais vont installer un data center dans leur capitale. On avait déjà parlé de déplacer les data centers vers le nord pour profiter du climat pour refroidir les centres informatiques. La, l'informatique va réchauffer Helsinki. Tous les grands consommateurs d'informatique travaillent sur "l'écologisation" de leurs centres. Pourquoi ne pas déplacer vos data-centers ?
Par ailleurs Google a couvert le toit d'un de ses data-centers de panneaux solaires et couvre 30% de ses besoins. Et vous quelle surface de toit ?
http://images.jimonlight.com/wp-content/uploads/2009/07/gp1.jpg

mure pour le sans-contact ?

Au canada Mastercard va tester un sticker paypass pour blackberry. Pas bête: Un achat déclenchera un mail automatique de confirmation

Carte de paiement verticale: une carte à jouer ?

Fiserv lance une nouvelle façon de designer les cartes de paiement en présentant une lecture verticale. Cela ne change bien sur rien aux fonctionnalités de celle-ci mais ça fait parler, c'est différent et ça ouvre de nouvelles pistes "créatives" pour de nouveaux graphismes

debit card & debit boisson

Le business model d'un système de fid sur une carte de débit est un exercice intellectuel un peu ardu. Alors que les systèmes de fid en général sont mis à mal par la crise économique et que les banques américaines (ex capital one) reculent devant l'obstacle "programme de fid sur debit card", perkstreet se lance dans l'aventure (http://www.perkstreet.com/).
Leur objectif affiché: s'approcher du taux de récompense des credit cards. Leur BM annoncé: l'absence d'agences. Ils oublient entre autres de parler du float, des fees sur le découvert (à ce propos "l'assurance" anti-découvert et du même montant que les pénalités en cas de découvert) ou les frais en cas d'inactivité de la carte (voir les FAQ sur le site)
Le taux de récompense est de 1$ pour 100$ dépensés. Les "points ou $" sont convertissables en cash back (100$ = 1$), en téléchargement de musique (100$ = 1 chanson) mais aussi en café starbuck. L'exercice de style en termes de communication se gate car la promesse est 200$ = 1 café
L'addition (200$ le café) et le café sont peu salés, même si plus loin dans le site on vous explique qu'en dépensant 1000$ par mois vous allez avoir 60 cafés starbuck par an.

jeudi 12 novembre 2009

Amex vous aide à gérer votre budget

En complément à l'article précédent dans lequel nous disions que les banquiers et les institutions financières proposaient de plus en plus d'outils de gestion budgétaire. C'est au tour d'amex de proposer une offre de PFM (personal Finance management). Dans un contexte dans lequel les intervenants financiers sont attaqués pour leur comportement, c'est un véritable service que ces intervenants proposent à leurs clients ou membres. C'est un  aussi un bon moyen de les fidéliser.
source colloquy:
American Express has launched the Money Manager, a new, free online personal finance service that helps charge Cardmembers manage their finances and rewards accounts in a secure online location. Cardmembers now can link bank accounts, credit cards, investment accounts, mortgage loans, car loans, student loans and rewards points from more than 11,000 institutions all in one place through Money Manager so that they can spot ways to spend and save smarter.
Cardmembers access Money Manager by logging into their card account at AmericanExpress.com and providing username and password information for the financial accounts they want to manage. Once a cardmember has registered, all their account information is linked and automatically updated, so they can access all their accounts without having to log in to multiple individual accounts. Cardmembers also can view charts that automatically categorize their spending, set budgets, receive alerts to stay on track, and get updates on their investments.
Money Manager provides tools including:

Budget Tracker: Set monthly budget goals and receive e-mail alerts on budget limits

Spending Reports: Analyze spending trends over time

Financial Calendar: Displays due date and amount due for each financial account where payments are owed, including bills/utilities, credit cards, insurance, mortgage and loan payments

Rewards Tracker: Monitor balances from frequent-flyer, car rental, hotel and other rewards accounts

Personal Net Worth Calculator: Displays account information in a personalized balance sheet format, categorizing it into assets and liabilities and calculating a total net worth

A recent American Express survey of consumers about personal finances shows that more than half (57%) of respondents age 18-64 are concerned that, in any given month, the amount of money they pay in bills will exceed their monthly income; 21% say they don’t have enough time to monitor their household budget and plan their finances; 22% feel they could use some help finding resources to effectively manage their personal finances.

This online service is available to all U.S. American Express Charge Cardmembers.

Source: American Express

AARP: comment les seniors attirent les jeunes par l'argent

L'AARP (American Association of Retired People) est une association sans but lucratif qui s'adresse aux plus de 50 ans. Elle compte environ 40 millions de membres aux états-unis. (http://www.aarp.org/)
Cette association a décidé de s'intéresser à la génération Y des "jeunes adultes" et lance lifetuner (http://www.lifetuner.org/). Un site très complet qui allie les notions de communauté, de forums, des experts, des outils de diagnostic financier avec une promesse: La vague du PFM s'étends progressivement à l'ensemble des acteurs, les banquiers, les sociétés financières, des sites spécialisés comme mint et maintenant le communautaire ou affinitaire. Ce service va devenir incontournable pour tous ceux qui toucheront de pres ou de loin aux questions d'argent.
We're not here to get you a lower rate, a free credit report, or sell you a thing.
We're here to help you understand your finances and take charge of your future

vendredi 30 octobre 2009

Deux façons de faire du marketing

Une banque (http://www.servuscu.ca/ ) canadienne distribue 10$ à 20.000 clients en leur demandant de faire le bien autour d'eux avec cet argent. Cette idée de distribuer de l'argent va être reprise par Mailorama.fr, qui annonce vouloir distribuer 5.000 enveloppes (de 5 euros à 500 euros).

Mailorama est un site de cash-back, son métier serait donc selon eux de distribuer des sous.

Si c'est une façon un peu différente de faire parler d'eux, je trouve que c'est une mauvaise copie de l'opération canadienne et j'avoue que je préfère la version originale qui rajoute un coté humain.

(Mise à jour: voir les commentaies: Grace à un commentaire anonyme que je remercie au passage: Il semblerait qu'en fait il y aurait un versement conséquent pour deux associations caritatives Je continue de préférer l'opération cannadienne car ce don fait très social washing (ou achat d'indulgence). Enfin, tant mieux si cela rapporte de l'argent au secours populaire et que des gens peuvent en profiter.

Servus a poussé la logique jusqu'au bout en créant un site sur lequel les gens viennent raconter leur don et partager et ressentir les bonnes vibrations. Certains ont offert des chocolats aux volontaires d'un centre anti-grippe, ou à une association qui offre des repas aux enfants.
http://www.feelgoodripple.ca/Makearipple/tabid/71/Default.aspx

Si vous êtes tentés par l'opérations Mailorama, selon l'AFP cela se passera le 14 novembre de 14h à 17h dans 3 endroits de Paris. La préfecture de police craint des émeutes et semble surveiller ça de près.

jeudi 29 octobre 2009

Payer avec des mots

Amazon lance "payphrase": vous choisissez une phrase qui vous identifiera. A mazon y a ajouté une idée que je trouve innovante: Vous pouvez creer des payphrases pour vos enfants en y affectant des limites de dépenses. Ils peuvent donc acheter sur votre carte sans en connaitre les details et tout en étant "controlés". Ca fait plaisir aux enfants, ça valorise les parents et c'est bon pour le CA d'amazon.
Banque Accord d'Auchan avait lancé une utilisation inverse mais tout aussi innovante pour lutter contre le phishing: "choisissez une phrase et elle apparaitra sur toutes nos communications électroniques".

pour en savoir plus: http://www.amazon.com/gp/payphrase/claim/whats-this.html

lundi 26 octobre 2009

une tentative (à mon avis vaine) de plus pour creer une multi-carte.

repéré par gizmodo: Une tentative de plus pour créer une "multi-carte".


http://www.gizmodo.fr/2009/10/25/une-carte-de-credit-pour-les-remplacer-toutes.html

Ce n'est pas la premiere tentative pour creer une carte tout en un. Il y a quelques années il y avait eu la cameleon card. Cette carte se glissait dans un etui qui permettait de "choisir" la carte et qui la paramétrait en conséquence.

Pour celle-ci j'ai du mal à imaginer comment elle peut passer dans les terminaux des magasins pour lire la piste (il semble très epaisse) ou dans un distirbuteur vu la taille de la molette.

Qui plus est ce "concept ?" ne semble pas disposer de puce. Ce qui lui enlève à terme la possibilité de "simuler" toute carte considérée comme "universelle" (exemple: la CB).
Avec l'arrivée du sans contact, les obligations d'avoir une puce pour les cartes universelles et le développement d'un support paramétrable comme le téléphone j'ai du mal à voir de l'avenir pour cette tentative.

des fotes de frape qui coutent chers

Repéré par springwise: Les sites et moteur de recherche-comparaison de prix sont nombreux sur le web.


Mais certains futés se ruent sur les failles du systèmes tel ce site spécialisé dans les erreurs d'étiquette (http://www.preispanne.de/).

Un webmarchand allemand (otto.de) a du faire face à plus de 6.000 commandes pour un macbook vendu par erreur à 49.95 Euros au lieu de 2.000 Euros.

mercredi 21 octobre 2009

mettez du buzz dans votre actimel

En juin dernier Danone a invité une dizaine de blogueuses influentes à visiter son centre de recherche pour leur présenter actimel.


Toutes ont raconté leur visite (chacune dans leur style et j'avoue qu'on prends plaisir à les lire). Elles semblent avoir été impressionnées par leur visite et les réponses apportées par les scientifiques. Ainsi que, pour être franc, par un certain Jeremy chef de produit qui les a fortement marquées ;)

Au total une impression très positive se dégage des témoignages postés par ces blogueuses (yc en incluant les échanges de commentaires qui suivent ces posts). Bref une bonne opération de communication de Danone, avec une utilisation intelligente des leaders d'opinion. On peut supposer que Danone est satisfait de sa démarche puisqu'il a réitéré cette démarche ce week-end.

Un exemple d'article mais il y en a plein d'autres: http://www.mercipourlechocolat.fr/2009/10/19/visite-centre-recherche-danone-actimel/

A noter: on ne relève pas de remarques négative présentant cette opération comme une basse tentative d'influencer ces blogueuses. Sans doute car l'invitation semble avoir été"transparente", les réponses et les dialogues semblent avoir été francs et directs entre les chroniqueuses et les équipes. Et d'autre part les résumés ont su garder une certaine distance vis à vis du discours de danone, (ce qui n'est pas surprenant quand on lit ces blogs). En tous les cas bravo à danone et à ces chroniqueuses de choc.

Allez à la demande générale voici The video de jeremy:


http://www.paperblog.fr/2039573/l-interview-l-interview-l-interview/

jeudi 15 octobre 2009

fun marketing: la vie est trop courte pour consommer triste

si bmw parle d'une joie qui sonne creux et carrefour (ré)essaye de positiver (ça fait un peu déja vu) d'autres essayent et reussissent à mettre du fun dans notre morne vie de consommateurs: Ainsi Volskwagen innove et réussit à vous faire prendre l'escalier ou utiliser les poubelles en rendant ça amusant: (voir les deux videos ci-dessous).
Par ailleurs vient d'ouvrir www.mysterygoogle.com (une autre fun innovation) qui en fait vous envoie vers une page web au hasard et sans rapport avec ce que vous cherchiez. A une époque une université américaine avait ajouté un bouton "aleatoire" à l'ascenseur qui vous envoyait à un étage au hasard pour vous faire découvrir de nouveaux lieux ou services.
http://www.youtube.com/watch?v=2lXh2n0aPyw&feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=cbEKAwCoCKw

lundi 12 octobre 2009

Ariel se prend un savon

repéré par TNS-Sofres. Ariel innove et a lancé un site ou les consommateurs viennent évaluer le nouvel "Ariel Excel Gel". Sur plus de 6.000 votants le score serait de 4.5 / 5. Par contre la première page, qui donne les derniers commentaires, impose au chef de produit d'avoir les nerfs solides, car le nombre de "déçu", "très déçu", "pas très bon" voire "désastre" .


Si l'on veut bien prendre du recul, les commentaires négatifs sont une vraie mine d'or pour "améliorer" le produit. Ici, par exemple, visiblement le "bidon" pose trop de problemes.

http://www.coldisthenewhot.com/html/rate-and-review/

twitter aphone et des geeks techno-dépendants qui doivent affronter la vie

horreur ! la semaine dernière, twitter est tombé en panne. pauvres twitty birds obligés de vivre coupés du monde,
rassurons nous dès que twitter a repris ils ont raconté ce qu'ils ont fait pour survivre et comment ils ont vécu ce blackout. les mauvaises langues diront que ça leur a fait quelque chose à dire.
voir afp : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hnxiywYNPaiSW8Hj9Q85_y_y1Jgg

tesco, carrefour et bforbank des innovations pour prendre en compte les évolutions des ntic

ventes privées, appli, iphone, facebook, comparateur: 5 phénomênes à prendre en compte.
aucune ci-dessous n'est une innovation au sens "je suis le premier" par contre toutes montrent l'intégration par de grandes marques de points aujourd'hui incontournables.

Carrefour s'est lancé dans les ventes privées via une appli facebook (au passage il récupère des infos facebook
http://www.facebook.com/faceshopping?ref=mf
Bforbank s'est lancé et propose un comparateur entre ses propres produits et ceux de la concurrence: pour les deux produits que j'ai testé la sanction est dure si l'on sait lire les tableaux car ceux-ci sont assez détaillés. Est-ce volontaire pour noyer le poisson ?
http://www.bforbank.com/membre/simulation/comparateurLivret.act

et puis tesco qui lance son app sur iphone
http://techfortesco.blogspot.com/2009/10/tesco-store-and-product-finder-live-in.html

mercredi 23 septembre 2009

what is innovation ?

Cet article pousse le bouchon à l'extreme mais à le mérite de mettre en avant des évolutions qui doivent aujourd'hui être considérées comme acquises.


what is innovation?
Let’s define it ... I don’t like half-page elevator statements so my definition goes more like: Innovation: the method of creating compelling new ways of doing things that open up new markets or radically disrupt existing markets.
....
Certainly, mobile payments and prepaid, which were the focus of last week’s discussions, are innovating retail payments. They are opening up new markets for electronic services that displace cash. That is why they are good for the producers, the banks, as any cash displacement makes finance more efficient because it’s getting rid of paper. And paper accounts for six out of seven transactions today.
But mobile and prepaid have been trying to disrupt this space for half a decade. I first started talking about mobile as a payments mechanism back in 2004 when NTT DoCoMo started showing us the way.
Therefore, the fact that mobile is now mainstream is no longer innovative. The innovation has happened. A bit like online payments with PayPal happened. And prepaid is an innovation – creating new compelling markets based upon existing technologies – but it’s also happened.
These things are here. That’s why I don’t call them innovations, as innovation is what I look for before it happens.
When you see Web 2.0, it’s too late.

When you see Facebook and wonder whether to compete with it, it’s too late. It's already dominating.
When you see everyone talking about mobile payments, it’s too late. They've taken off.
When you hear everyone discussing prepaid cards, it’s too late. Everyone's got one.


... So what is innovative today? Wireless payments.

This is contactless, but it’s more than that. It’s wireless, free-form payments built into objects, clothing, watches ... anything. Wirelessly communicating electronic payment tools for consumers....
source: http://thefinanser.co.uk/fsclub/

jeudi 17 septembre 2009

crédit responsable ?

Chase lance une carte de crédit responsable. Vous choisissez quelles catégories d'achat sont en "débit" et / ou celles à crédit (transformées en un mini pret personnel classique). Un double effet kisskool: Etre "responsable" et lutter contre les debit cards qui font plus que grignoter le marché des cartes de paiement.

The Era of Responsible Credit Card Borrowing Begins Today

by Bryan Derman on September 15, 2009 source: http://paymentsviews.com/author/bryan/

Chase Blueprint brings new transparency and consumer control to credit cards

Today’s announcement of the new “Blueprint” functionality by Chase Card Services represents a significant generational inflection point in the evolution of the US credit card business.... The innovations Chase is introducing will likely usher in a new period of “responsible borrowing,” where consumers are evolving from a mindset of “revolve everything and make the minimum payment” to one where the convenience of card payment for everyday spending is logically segregated from the occasional need to finance purchases of more expensive goods and services.

Today, Chase is introducing a new set of features under the “Blueprint” banner designed to create a far more transparent and controllable relationship with its 20 million credit card customers. Through the Chase.com website and its call centers, cardholders will be able to access four important new features that Chase calls: (1) Full Pay, (2) Split, (3) Finish It, and (4) Track It. Lets take a look at what each one offers.

Full Pay allows cardholders to designate certain categories of card spending that they wish to repay in full each month and automatically makes these purchases part of the minimum balance to be paid each month. It seems likely that many consumers would opt for full payment of everyday purchases (groceries, gasoline) and recurring expenditures (phone bills, utilities, subscriptions), while reserving their revolving credit facilities for major purchases. This capability not only facilitates more prudent financial management by consumers but might also bolster the credit card’s faltering position as a convenient payment tool.

...
Well, the inability of credit card executives to answer their own question has helped shift dramatic amounts of spending from credit to debit cards, dragging millions of dollars in interchange revenue along with it. At last, with Full Pay, Chase is telling its customers that just because they are revolving a balance, they don’t automatically have to incur finance charges from day one on subsequent purchases when paying with their credit cards. Simple but important.

Split is the logical counterpart to Full Pay, allowing the consumer to designate a certain portion of his balance (presumably those corresponding to a durable purchase like a major household appliance or a vacation bill) and arrange a set of structured payments to repay it. The consumer can either designate a certain specific monthly payment or a period of time over which he wants to repay the balance. Chase.com does the calculations and highlights the payment on future statements and online.


In effect, Chase is taking a piece of the credit card’s revolving balance and converting it to what used to be called an “installment loan” (an old and completely under-nourished banking product that was shunted aside years ago in favor of the greater flexibility – and profitability — of revolving credit cards). No lender would ever grant you a car loan that revolved forever with no repayment schedule (and where minimum monthly payments barely contributed to principal repayment), but credit card issuers have done exactly that for years on all kinds of other large purchases (plasma TVs, airline tickets, medical bills, etc.).

A similar installment payment feature was introduced some years ago by Bank of Ireland in the MasterCard product it co-brands with the U.K. Post. I’m told (anecdotally) that uptake of that product has not been significant, perhaps because of limited marketing efforts. Hopefully Chase will put greater focus on its version of this very sensible feature. I also note that the UK Post card offers a greatly reduced interest rate on the amortizing portion of the credit facility, something Chase might also offer given that credit losses should be far lower on this portion of the consumer’s credit line.

Finish It is a feature very similar to Split. It allows the consumer to designate all or a portion of an existing revolving balance for movement to a structured repayment schedule that allows the consumer to determine when they will be out of debt. Easy, simple, transparent, consumer-friendly. Enough said.

Track It is Chase’s term for the set of enhanced statements and website reporting tools designed to help consumers understand their historical spending patterns and where they stand against any structured repayment plans they have established. We have certainly noted with interest the growing popularity of online financial management services (Mint.com, Wesabe, etc.), which are in part manifestations of the “tricks and traps” mentality of some card issuers. Maybe Chase’s new Track It feature and, indeed, Blueprint overall tells us that the folks up at headquarters are beginning to get the message about the value of online financial management.

There‘s a high likelihood that other credit card issuers will take note of these features and feel some competitive pressure to provide similar features, if not more innovative ones to demonstrate their sensitivity to some pretty clear customer needs.

Debit card issuers (including those in the same bank!) should also be pondering their response. Selective credit extension – particularly in the installment loan category – seems like an obvious early opportunity.

fnac et la redoute sautent sur l'occasion

La Redoute et Fnac proposent des produits d'occasion vendus par les particuliers.


Après, les vendeurs de voitures, les spécialistes mortar comme "la caverne du particulier" ou cash-converters, les vendeurs de jeux video, les pure click comme price minister ou ebay, le développement des brocantes et autres vide-greniers, le trocathlon, le développement des market-place (ex: amazon), voici La Redoute ouvre sa place de marché (en partenariat avec price minister) et que Fnac étends sa market-place aux particuliers (elle était jusque la réservée aux professionnels).

fnac représente 700.000 visiteurs / jour et compte réalise 15% du Ca sur cette market-place qui élargit leur offre, rentabilise une audience existante et peut créer une nouvelle source de captation d'audience.

vos points de fidélité prennent de la valeur

Vous pouvez maintenant payer vos dépenses courantes avec les points Amex aux Etats-Unis. Cela dit si payer son téléphone, ou ses achats alimentaires avec ses points n'est pas forcement une mauvaise idée, la question qui se pose tout de suite est : Quelle est la valeur du point ? Il semblerait que pour Amex 1000 points valent 6$. Comme vous gagnez 1 point pour 1 $ dépensé, je vous laise faire le calcul du prix du point....


De son coté, vous avez sans doute repéré qu'Air France vous permet maintenant d'acheter des miles (suite à son accord avec points.com) . Si on regarde la grille tarifaire transmise, cela revient à 510 euros l'aller-retour en France. Pas de quoi faire sauter de joie un client mais le BM est alors facile à trouver pour AF. Sauf si vous sautez sur la promo de lancement (30% de miles en plus).

mercredi 9 septembre 2009

L'archivage des relevés, un outil de fidélisation ?

La durée d'archivage des documents et donc leur disponibilité va l'espace client peuvent devenir des éléments différenciants. Certains facturent des archivages de longue durée. Et netbanker y voit même un élément de fidélisation de la clientèle.
Repéré par netbanker.com
http://www.netbanker.com/WindowsLiveWriter/ChaseBankRewardsEstatementswithSevenYear_8692/image_2.png

innover sur la crise: Rendez votre voiture si vous êtes licencié

Innovation de crise: "on est dedans ensemble et on s'en sortira ensemble". Au printemps dernier Hyundai proposait un système permettant de rendre la voiture que l'on vient d'acheter pendant un an si l'on est licencié: bilan 14% d'augmentation des ventes alors que les autres constructeurs voyaient leurs ventes plonger.
Hyundai has announced that its popular Assurance Program now includes 90 days of payment relief if a buyer is laid off within the first year of vehicle ownership. The Hyundai Assurance program that runs from Feb 23rd to April 30, 2009 allows buyers to return their vehicles if they lose their jobs within the first year that they own them. The Assurance Plus program takes the step one step further by providing a one-time 90-day payment relief benefit. The Assurance Program is credited with Hyundai's sales increasing 14.3 percent while almost every other automaker was down last month.
"We continue to look for ways to help consumers in this challenging economic environment, so we're offering unprecedented financial protection when they finance or lease a Hyundai," said Joel Ewanick, vice president, Marketing, Hyundai Motor America. "With our 10-year, 100,000-mile warranty, Hyundai Assurance, and now Hyundai Assurance Plus, we're telling consumers that we are all in this together, and we'll get through this together."
source: http://www.thetorquereport.com/2009/02/hyundai_assurance_plan_adds_90.html

mardi 8 septembre 2009

Comment twitter a tué un SUV de chez GM

Dans la série: "à quoi servent les nouveaux outils de communication pour les entreprises ?"
GM a annulé la sortie d'un SUV suite aux réactions négatives qui leur remontaient notamment via Twitter. (source info: blog de Bertrand Duperrin)
Commentaire: Dire que le dialogue avec les clients et prospects donc la relation client doit intégrer tous les supports de communications et de relation client est une évidence. A terme, ignorer ces nouveaux outils est pour la communication du même niveau qu'une carte de fidélité qui zapperait un rayon d'un hyper ou un étage d'un grand magasin
http://nsisolution.wordpress.com/2009/08/27/exemple-dutilisation-de-twitter-chez-gm/

le futur des paiement: les innovations à venir selon paypal

le futur des paiements par paypal:

H1N1 is good for telcos

Dans un post précédent nous avions posé la question de l'impact de H1N1 sur les outils de travail collaboratif. Force est de constater que la grippe stimule l'imagination des opérateurs téléphoniques.
Face au risque possible de pandémie de grippe A en France, qui pourrait déboucher sur la fermeture temporaire de certaines entreprises, les opérateurs télécoms multiplient les solutions de télétravail afin d'assurer la continuité d'activité.
Après Completel...Orange Business Services (la filiale Entreprises d'Orange) ... lance le package 'Plan de Continuité d'Activité' qui se compose d'une clé USB 3G+ et d'un forfait permettant jusqu'à 2 mois de connexion illimitée en France métropolitaine (néanmoins limitée à 3 Go par mois) depuis un PC portable pour 99 euros HT ... L'annonce d'OBS n'est pas passée inaperçue puisque quelques heures après, c'est SFR Business Team qui diffusait un communiqué de presse sur le même sujet. Décidément, ces deux là se marquent à la culotte"
source: http://www.businessmobile.fr/actualites/services/0,39044303,39705961,00.htm?xtor=RSS-10020

lundi 31 août 2009

social shopping is good for business

Isn't it more fun buying clothes with friends ? Charlotte Russe enables you to do social shopping by sharing your e-shopping with friends (via facebook twitter or myspace) from different locations. Like in real life, as your friends accompany you and see the products, they can give you advice and comments helping you choose on line like teens (and let say matures) often do off line in stores.

Have a look at http://www.charlotterusse.com and click on share item or shoptogether (bottom of the screen).
more information on http://www.dmnews.com/Social-shopping-is-poised-for-growth/article/147162/
source: colloquy

how a retailer can use social tools

For those who wonder what facebook and others community tools can change in the customer relationship management. CRM is changing deeply and loyalty program providers will have to evolve.


Have a look at Charlotte Russe community on facebook, myspace and youtube. And how twitter is used.
http://www.facebook.com/CharlotteRusse
http://twitter.com/CharlotteRusse
http://www.youtube.com/CharlotteRusse
http://www.myspace.com/CharlotteRusse

mardi 25 août 2009

innovation et tenacité

L'inventeur du célèbre WD-40 est décédé cet été. Le WD-40 est une huile nettoyante, lubrifiante qui protège contre l'humidité (ex: les circuits électriques) et la corrosion. WD-40 veut dire Water displacement, 40ème essai. Comme quoi les coups de génie.....

Facebook: un système de paiement de plus ?

En avril une étude parlait de 19 applications de paiement utilisées par les "facebook" (soit 16 !!! systèmes en plus des 3 grands: google, amazon, paypal) avec une augmentation de 35% des flux sur le premier trimestre. Légitimement facebook doit vouloir ne pas vouloir voir passer les fees sous son nez. D'ailleurs la rumeur court sur le net, d'une solution de paiement "privative" en béta test.   


Il ne sera pas (plus) de social network ou simplement de portefeuille de clients (consommateurs, membres etc...) qui ne permette des paiement P2P inter-membres.

Les systèmes de paiement existants (cartes bancaires et privatives) vont tous permettre le P2P. Certains outils dédiés vont tenter d'apparaitre (contre les big 3 d'amazon, google et paypal qui dominent le P2P) et les grands réseaux sociaux créeront leur portemonnaie.

Tous les social networks vont se poser la même question. Système "propriétaire" ou solution externe ? Dans tous les cas la question de la masse critique sera clé. Quand on annonce 250 millions de membres (passons sur la réalité du chiffre) on est dans le sérieux.

Mais à moyen terme on ne pourra pas durablerment conserver autant de systèmes non interopérables et je pense qu'il y aura une sélection naturelle.

A long terme la question de l'universalisation (ou de l'interopérabilité) se posera comme il s'est posé sur les cartes bancaires.

lundi 24 août 2009

H1N1: un accélérateur du e-commerce ?

La pandémie attendue, va sans doute avoir des conséquences pour le commerce, en confortant les internautes dans leur comportement et en poussant de nouveaux consommateurs à tenter le coup pour économiser une sortie et ainsi limiter les occasions de contacts: une augmentation de l'activité pour les sites marchands en général, mais aussi les sites de gestion (ex: banques en ligne), les courses alimentaires sur internet avec livraison et les systèmes à la Auchan drive (je commande sur internet et je passe prendre les courses avec ma voiture sans entrer dans un magasin).

La gripppe va t'elle booster le 2.0 en entreprise ?

La crise avait amené les entreprises à s'interroger sur leurs frais de déplacements, à nous inviter à remplacer les voyages par des visios. Mais que je sache peu de discours sur les mérites des outils collaboratifs.

La pandémie qui menace va t'elle accélérer la mise en place de ces outils dans les entreprises ?
Dans un article de juillet Jane McConnell nous invite à un diagnostic à nos outils de communication et de travail à distance: Intranet Check-list for the Flu Pandemic : http://netjmc.typepad.com/globally_local/2009/07/intranet-checklist-for-the-flu-pandemic.html. Cet article, repéré grace à B Duperrin: http://www.duperrin.com/, est un bon pense-bête utile à transmettre aux DRH.

A quand une prescription de 2.0 remboursée par la sécu ? Plus sérieusement, les efforts faits pour favoriser le travail à distance ne pourraient ils pas bénéficier d'avantages fiscaux puisqu'ils sont à la fois bon pour la planète et bon pour la santé ?

jeudi 20 août 2009

Study shows link between financial, medical problems

Une étude américaine qui vient de paraitre met en avant le lien très fort entre problêmes financiers et problêmes de santé. Que ces pathologies soient la conséquence directe des aspects financiers (ex dépression) ou indirect via des restrictions alimentaires voire médicales, Ou à l'inverse qu'un problême médical entraine des conséquences financières.

Peut-on traiter les aspects financiers sans intégrer cette notion médicale ? L'auteur va même jusqu'à préconiser que les médecins devraient être directement impliqués en leur demandant face à un patient de s'interroger sur sa santé financière.

By Stacey Burling INQUIRER STAFF WRITER
Financial and medical woes tend to travel together, a relationship that a former University of Pennsylvania researcher believes deserves more attention from both physicians and credit counselors.
Craig E. Pollack, an internal-medicine doctor who studied research techniques at Penn as a Robert Wood Johnson Foundation Clinical Scholar, last year surveyed 250 Philadelphia-area homeowners facing foreclosure who sought help from Consumer Credit Counseling Service of the Delaware Valley Inc.
He found extremely high levels of major depression: 37 percent compared with the 12 percent typically found in poor populations. Plus, nearly 60 percent of the distressed homeowners said they had skipped or delayed meals because they could not afford food, and almost half said they had failed to fill a prescription in the last year because they did not have enough money. Since the foreclosure, they also said, they had started smoking and drinking more.
Nine percent said a medical problem in the family was the primary reason for the foreclosure. ... Foreclosure rates are now at historic highs, he added. "We're in the middle of the crisis, and we've barely begun to address the health ramifications of it."
Pollack, who recently began working at Rand Corp., said people in foreclosure were dealing with the end of their dream of homeownership, and all that implies in this society. They are also facing concrete, day-to-day dilemmas that are stressful.
"I think the high rate of people skipping their doctors' appointments and people skipping their medications is incredibly important," he said. "What you worry about is people are making really hard decisions here. They're making really hard trade-offs. As a physician, I worry that these are going to hurt people's health."
He said he thought doctors should ask patients about their financial worries and be prepared to steer them to mortgage counselors, if necessary. And mortgage counselors should know where public-health clinics are located and have information on hand about programs such as food stamps and Medicaid.
Recognizing that both doctors and financial experts already feel "pinched for time," Pollack said there should be incentives to change their behavior, but he had no specific ideas about what those should be.
Anthony Orman, vice president for client programs at Consumer Credit Counseling Service, said clients rarely talked about their medical problems. The study, he said, was a way to "prove what we kind of knew in our gut."
...
"Our counselors are financial counselors," he said. "They're not medical counselors."
The agency is considering hiring a social worker to meet medical-counseling needs. The big question is how it would pay for that.
http://www.philly.com/philly/business/homepage/20090818_Study_shows_link_between_financial__medical_problems.html

mercredi 19 août 2009

travel now, pay later with your mobile phone

Telefónica O2 joins Deutsche Bahn’s NFC ticketing project
Badger avec son téléphone (NFC) pour prendre le train pour valider son ticket ou son "pass", n'est pas vraiment une idée nouvelle. Par contre il me semble que c'est la première fois que je vois ce principe ou il n'y a pas de pré-achat mais ou l'on badge en entrant puis en sortant et ça calcule le cout du transport (facturé en fin de mois).
http://www.nearfieldcommunicationsworld.com/2009/08/19/31527/telefonica-o2-joins-deutsche-bahns-nfc-ticketing-project/
The mobile operator has joined Vodafone and T-Mobile in the German rail company's Touch&Travel NFC ticketing project, as it heads towards a major expansion of the pilot testing area and a future nationwide commercial launch. ON TARGET: Travellers hold their NFC phones to Touchpoints like this before and after every journey Telefónica O2 Germany has joined Vodafone and T-Mobile in participating in German rail operator Deutsche Bahn's Touch&Travel NFC ticketing project, as the rail company prepares for the next phase of testing in which the pilot area will expand to include long distance train services from Hannover to Frankfurt.
Developed in conjunction with technology partners Atron, Giesecke & Devrient and NXP, the Touch&Travel concept is a very simple one: Passengers touch their NFC phone to a Touch&Travel Touchpoint at the start of their journey and then touch their phone again to a Touchpoint at the end of their journey. The fare is then automatically calculated and charged to their Deutsche Bahn account, which is settled on a monthly basis via direct debit.

et vous qu'avez vous fait de cette crise ?

Flash-back: Il y a un an (déja ?), aout 2008, un an apres le début (été 2007) de la crise des subprimes aux US, un article américain, cherchait à montrer en quoi la crise allait (pouvait) changer (assainir) les comportements de consommation des américains.

Avec cette conclusion en forme de point d'interrogation: Allons nous en apprendre quelque chose et prendre un nouveau départ ("a new hope") ou comme allons nous rejouer la même histoire.

"We're at a critical moment," ... "In two or three years, we might say, 'We had a moment where the banks were broke, credit cards didn't have much credit left, when Americans were beginning to rethink consumerism, when we really could have turned the page,' " .... "Or we might be saying, 'We talked ourselves back into the old fixes,'" such as rebate checks and even telling Americans directly to go out and spend, as President Bush did after 9/11. With baby boomers' habits well ingrained, it may instead be generation X and generation Y who decide to embrace a simpler, less wasteful lifestyle, rebelling against the conspicuous consumption that their parents helped make the American way of life

L'article intégral est un peu long mais je crois qu'il vaut la peine:

The End of Credit Card Consumerism. A new frugality could remake the U.S. economy—and American life
By Kimberly Palmer Posted August 8, 2008

When it comes to longevity, few royals can top America's King Consumer. For more than four decades, our shopaholic nation has shown an insatiable desire to spend until our credit cards melt. And throughout this era, consumer spending has, well, consumed a greater and greater share of our total economy. Only twice since 1965, despite half a dozen recessions, have Americans spent less in a year than the previous one.

Indeed, it often seems that we have defined ourselves by our ability to buy supersized everything, from McMansions to tricked-out SUVs to 60-inch flat-screen televisions—all enabled by decades of cheap credit. On the surface, it may seem that there's nothing wrong with all that conspicuous consumption, especially for the biggest, most productive economy on the planet. After all, our undying love of stuff has helped fuel a global economic boom.

Yet today, America finds itself at a once-or-twice-a-century economic tipping point. A sharp slowdown, record-high gas prices, high consumer debt levels, a plunging real estate market, and the growing green movement all seem to be conspiring to dethrone King Consumer and transform the economy and the American way of life for years to come.
"The process of bringing our wants and our needs into realignment," says Merrill Lynch economist David Rosenberg, "is going to involve years of savings and frugality." Or, to put more it more simply, "there is an anti-bling thing going on," says Marian Salzman, chief marketing officer of Porter Novelli.

Party's over. Many consumers, of course, don't have much choice but to scale back. Total credit card debt has increased by over 50 percent since 2000. The average American with a credit file is responsible for $16,635 in debt, excluding mortgages, according to Experian, and the personal savings rate has hovered close to zero for the past several years. High gas and food prices are causing real incomes to fall.

Even worse, rising inflation will probably cause the Federal Reserve to start jacking up interest rates once the credit crisis on Wall Street has passed, tightening credit even further. "We're shedding jobs, it's much harder to borrow, and what used to be capital gains are now capital losses," says Scott Hoyt, senior director of consumer economics at Moody's Economy.com. "There's no source of funding for spending." Because many of us won't be able to as easily use our homes as ATMs, Hoyt expects to see an upward trend in saving and slower growth in consumer spending, compared with the binge of the past decade. It was our appetite for housing, after all, that served as the catalyst for the multidecade consumer boom.

Consider this: Consumer spending has risen to just over 70 percent of the U.S. economy from a bit more than 60 percent in 1965. The pace really picked up in the 1970s, when the first baby boomers started buying and furnishing their own homes. But now, Rosenberg says, the median boomer is in his early 50s and looking to unload his fleet of leased SUVs. To some degree, then, demographics are destiny.

Longer term, an aging population will need to spend less and save more for retirement. As that process plays out, consumer spending may become less important in the big economic picture. Moody's Economy.com forecasts that the combination of demographic and financial factors will cause just such a seismic economic shift. Reversing a four-decade ascent, consumer spending could actually start falling as a percentage of U.S. gross domestic product, slipping to 68 percent over the next seven years. Shopped out.

And this new frugality might actually be OK with many of us. Consumers were "so glutted on everything that they had acquired and all the time that was robbed from them...that they almost saw this [downturn] as a great opportunity to stop," says Faith Popcorn, chief executive of her eponymous consultancy. In a recent survey, she found that 90 percent of respondents said they were considering options for "the simpler life," and 84 percent said they were inclined to buy "less stuff."

Another survey found that people rank being in control of their finances and living a green lifestyle higher as signs of success than having money or a luxury car, and view having a paid-off mortgage as more of a status symbol than having a beautiful home. "We have to convince ourselves that the lifestyle we can afford right now is a desirable one," says Holly Heline Jarrell, a global director at the communications firm Manning Selvage & Lee, which sponsored the survey

Examples of the mind-set shift abound. Large-vehicle sales declined 5.5 percent during the first six months of 2008, while compact-car sales rose 33 percent, according to J. D. Power & Associates. Piaggio, the company that makes Vespas, reports that scooter sales in June were up 146 percent over a year earlier. Even daily lattes have been cut; in July, Starbucks announced that it was closing 600 stores in response to reduced consumer traffic. The NPD Group has found that the number of meals made at home has been steadily rising since 2001. "We're coming back to the home," says Harry Balzer, vice president of the firm.

For some people, the downscaling has more to do with a changing definition of cool than with budgeting. The summer blockbuster WALL-E depicts a future world where spending and waste have spiraled so out of control that the Earth becomes a giant landfill. Magazines play up how celebrity moms like Victoria Beckham, aka Posh Spice, and Heidi Klum shop at Target for their kids. A simplification industry has spawned an annual Buy Nothing Day, books and blogs about not purchasing anything for a year, and Real Simple magazine. One recent post on the Consumerist, an irreverent website dedicated to standing up to corporations, contemplated the Geo Metro's transformation from "weak to chic." Consumerist's senior editor, Meg Marco, who used to drive the unstylish but fuel-efficient vehicle herself, says, "When gas is over $4 per gallon, I don't think anyone is any less 'cool' simply because they're seen driving a compact car.

" Young consumers in their 20s may be most affected by the shift to simplicity. In focus group research for her upcoming book on generation Y, consumer psychologist Kit Yarrow has found growing interest in secondhand stores. Young shoppers tell her that it's a "way to get new stuff without creating stuff," she says. And becauseconsumers often learn their lifetime shopping habits during their developmental years, Mandy Putnam, vice president at TNS RetailForward, says that members of generation Y may be permanently shaped by today's lessons in austerity, much as their great-grandparents were by the Great Depression.

There's also an environmental component, says personal finance guru David Bach. "I just sat at the kitchen table with my 5-year-old son talking about 'reduce, reuse, recycle'—I couldn't have told you that at 5," Bach says. He recently wrote Go Green, Live Rich, which focuses on how helping the Earth can coincide with smart financial choices, such as avoiding bottled water and starting a vegetable garden. Russell Simon, a 26-year-old communications manager for Carbonfund.org, a non-profit, embodies that way of thinking. He furnished his Washington, D.C., apartment with used furniture found on Craigslist, uses a canvas bag to bring home groceries, and gave up his '99 Subaru Impreza Wagon. He fills his time with activities, like swing dance lessons, that don't involve buying things. While he's glad his anticonsumption ways have a positive effect on the environment,

Simon's motivations are more self-serving. "It's about uncluttering my mind, uncluttering my space, and allowing me to focus on things that matter," he says.Cindee Mazzanti, a self-employed 57-year-old living in upstate New York, started downsizing in 2001, when the end of the dot-com bubble made her realize the importance of living within one's means. She sold her home and used the equity to pay off her debts and purchase a smaller home without a mortgage. She also traded in her Ford Freestyle SUV for a more thrifty Ford Focus to lower her own fuel costs and help reduce America's demand for foreign oil. Her monthly living expenses shrank from $5,600 to $1,200. Without debt, she says, she feels free

Refills. Retailers are doing what they can to woo these new, economy-minded consumers. In April, Starbucks began offering new rewards on its stored-value cards, including free refills on hot and iced brewed coffee and complimentary syrup and soy milk. "This was an opportunity...to show Starbucks can be a part of people's lives even when budgets are tight," Brad Stevens, vice president of Starbucks's customer relationship management, says. But what happens when budgets aren't so tight? Plenty of hardheaded economists say we'll go right back to our prodigal ways. Alan Blinder, economics professor at Princeton University and former Federal Reserve vice chairman, thinks that optimism and the drive to spend are hard-wired parts of America's cultural DNA. Blinder expects that even baby boomers will continue the spending spree that has defined most of their lives, buying medical care and golf vacations instead of new cars and larger homes.

Economist David Malpass argues that Americans aren't nearly as bad off as the low personal savings rate suggests because that calculation ignores the buildup of net worth. (If you bought a share of XYZ Corp. in January at $100, for instance, and its value doubled by December, the savings rate measure would still value that investment at $100.) Malpass points out that the average household has $573,379 in assets, including the value of retirement plans and the cash value of life insurance, and only $117,951 in liabilities. Even if Americans do curtail their spendthrift habits, the result would probably be a healthier and more balanced American economy.

Next year, the federal budget deficit is projected to reach almost $500 billion for the first time. America couldn't afford such a fiscal shortfall if foreign investors, such as the Chinese, didn't buy our debt—U.S. treasury bonds. If as a nation we bought a bit less and saved a bit more, economists say, the result would be stronger long-term economic growth. And depending on the kindness of strangers to perpetually finance your lavish spending sure seems risky. If the foreign appetite for U.S. dollar assets abated, says T. Rowe Price chief economist Alan Levenson, the dollar would probably weaken further, reducing Americans' standard of living.
Besides, there is more to the economy than just the consumer. The economic boom of the 1990s was led by business investment, especially in technology, aiding a boost in productivity that continues today. While businesses are holding back on investment because of recession fears, they are likely to beef it up after that threat passes, says Robert Brusca, chief economist at Fact and Opinion Economics.

And Uncle Sam may have a role to play as well by investing taxpayers' dollars to upgrade our national infrastructure and advance alternative energy technologies. "We're at a critical moment," says Benjamin Barber, author of Consumed. "In two or three years, we might say, 'We had a moment where the banks were broke, credit cards didn't have much credit left, when Americans were beginning to rethink consumerism, when we really could have turned the page,' " Barber says. "Or we might be saying, 'We talked ourselves back into the old fixes,'" such as rebate checks and even telling Americans directly to go out and spend, as President Bush did after 9/11.

With baby boomers' habits well ingrained, it may instead be generation X and generation Y who decide to embrace a simpler, less wasteful lifestyle, rebelling against the conspicuous consumption that their parents helped make the American way of life

source: http://www.usnews.com/articles/business/economy/2008/08/08/the-end-of-credit-card-consumerism.html

mardi 18 août 2009

de nouveaux domaines d'expertises

Les différentes évolutions règlementaires, techniques, ou comportementales impliquent l’acquisition de nouveaux domaines d’expertises :

Intégrer les nouvelles possibilités des devices
emv & sepa : Cette double évolution ne doit pas être uniquement considérée comme une question technique. Les nouvelles possibilités des puces et les nouvelles règles encadrant le paiement sont autant d’interpellations marketing : Le caractère multi-applicatif des cartes, le choix de paiement en caisse, les nouveaux formats de flux de paiement comme le virement, l’introduction de zones relationnelles dans les flux de paiement, l’apparition de nouveaux acteurs de paiements, la modification des business models, l’introduction de nouvelles concurrences sur le financement court terme des achats, la création d’activité « data » et marketing chez des fournisseurs de cartes universelles etc… redistribuent la donne et impactent nos métiers, nos produits et services, nos savoir-faire, nos business-models.

Mobile : Le téléphone mobile est un outil paramétrable, personnel, interactif,-communicant et mobile. Paramétrable : cet outil présente la particularité de pouvoir « émuler » d’autres devices. Ainsi dans le cas de paiements sans contact, il peut, via NFC par exemple, remplacer une carte de paiement ou une carte de fidélité. Interactif, contrairement à d’autres outils comme la carte, le mobile est un outil permettant une interaction entre un émetteur et une personne. Communicant, son clavier, son écran et ses capacités de communications dans les deux sens permettent d’échanger des messages. De plus ces messages peuvent être des données, de la voix, du son ou des images. C’est un outil personnel, comme la carte. C’est un outil mobile, qui permet à la personne de communiquer sans être lié à un point physique mais aussi d’être localisée.

A la fois device et interface, le mobile va modifier les schémas de paiements et dépasser les possibilités des cartes en la libérant des points de paiement physiques et en permettant une relationnalisation des actes comme le paiement. Les schémas relationnels traditionnels devront intégrer une interactivité de par la nature même de ce device interactif et par une contextualisation des dialogues liée à la localisation

Capitaliser sur les nouvelles données
Web-analytics : La montée en puissance du média internet est aujourd’hui avérée. Nos sites et ceux de nos partenaires sont devenus de vrais points de ventes et deviendront inévitablement aussi à terme des centres relationnels. Or le web présente un gros avantage sur le mortar, la tracabilité. Tout est analysable et historisable, ainsi par exemple, l’origine du surfeur, sa circulation au sein du site. C’est un univers entier de nouvelles données que nous devons apprendre à analyser puis à utiliser.

Social network & social links : Les individus échangent de plus en plus d’informations et d’avis. Cette tendance est accélérée par leur mise en réseau. Mise en réseau « ouverte » via des médias comme internet avec les commentaires qu’ils postent sur différents sites ou blogs ou les blogs personnels ou professionnels qu’ils créent. Mise en réseau « fermée » via les outils communautaires type facebook, linkdelin ou viadeo ou encore des outils de communications auprès d’amis ou d’affiliés ou de suiveurs (type twitter).

Dans ce contexte un individu ne doit pas être considéré uniquement par sa valeur (actuelle ou potentielle) mais il doit être pondéré par le poids de son niveau d’influence. La quantification de cette valeur d’influence s’effectue par l’analyse statistique des liens sociaux qui mettent en exergue les individus fortement « reliés » en fonction de la taille de leur réseau personnel.

Aujourd’hui la « force » (ou l’intensité) de la relation entre les individus se mesure essentiellement quantitativement au nombre d’échanges. Demain l’analyse sémantique permettra d’aller plus loin et de qualifier cette relation en fonction du contenu des messages.

En dressant une gigantesque toile d’araignée ou chaque fil représente les relations (les échanges) entre individus on peut détecter les « centres d’influences », les isolés et ainsi construire une stratégie de ciblage des centre d’influences pour couvrir les différents groupes ou encore pondéré la valeur d’un client ou d’un prospect par la mesure de l’influence positive ou négative qu’il peut avoir « autour » de lui.

Valoriser de nouveaux capteurs :
Communautés : La montée en puissance des sites de « socialisation » à la facebook, pour ne citer que lui, doit être prise en compte. Que ce soit via la création et l’animation de communautés pour notre compte en B2C ou celui de partenaires (en B2B2C), ou par l’association à des grands aggrégateurs de communautés, nous ne pouvons rester en dehors de cette tendance à la communautarisation qui créée de très gros gisements d’audience.

Audience : Cette notion d’audience est liée à une séparation entre produit d’acquisition et schéma de rentabilisation. De nombreux modèles comme les telco, les fabricants d’imprimantes, les financements de prêts immobiliers reposent sur cette notion d’une acquisition via un produit d’appel qui créée une audience et une rentabilisation via de l’up-sell, du cross-sell ou de la « simple » utilisation. Un des enjeux de demain sera la création d’outils de captation de cette audience (avec quels produits ou services) et la capactié à fertiliser sur cette audience. Au delà de la vente « directe » de produits il faudra donc développer une capaciité à « pousser » des offres adaptées sur cette audience. (ce qui pose bien sur la question du portefeuille d’offres disponibles)

Optimiser les propositions commerciales
Affectation des offres aux clients :
Face à la multiplication des offres, à des fonctionnalités et des produits et personnalisations possibles, des segmentations de plus en plus fines et des ciblages de plus en plus pointus, des médias de plus en plus nombreux, la question de l’affectation de la bonne combinaison « bonne offre au bon client au bon moment par la bon média » va se poser de manière drastique. Le nombre de combinaisons possibles va croitre de manière exponentielle et seule une industrialisation (mathématisation) poussée de ce process permettra de prendre en compte l’ensemble des possibilités.

Les outils de préconisations d’offres (capables de travailler en temps réel) vont de venir indispensables et le métier des marketeurs va évoluer vers la gestion et l’optimisation de portefeuilles d’offres et de clients. L’affectation de l’un vers l’autre étant mathématisée. Le travail des statisticiens va lui-même évoluer devant l’explosion du nombre de modèles à construire.

La croissance exponentielle des données disponibles, de leur volumétrie, du nombre d’analyse et de modèles requis pour en tirer le meilleur parti vont mettre sous tension les capacités informatiques et statistiques : Bases rapides et outils d’exploration de données, ou Industrialisation de la conception des modèles statistiques marketing seront clés pour l’avenir.

V ou W: une crise de foi

On disserte beaucoup actuellement sur la forme des scenarios de crise (en forme de V, de W ou de U) . Toute la question est de savoir si les frémissements que certains croient détecter sont la fin du V ou le milieu du W.


Je crains d'être tenté de parier sur le W .

"Nous sommes actuellement dans la deuxième jambe d'un scénario en W, ce qui est assez agréable, mais nous devons nous attendre à passer dans la troisième dans le courant de 2010", (Nicolas Bouzou: http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-08-13/la-recession-est-finie-en-france-pas-la-crise/916/0/368821)

Cette analyse rejoint celle ci-dessous:
source: http://www.lesechos.fr/info/analyses/020103897448-une-reprise-fantome-.htm?xtor=EPR-1000-%5binfo%20matin%5d-20090818

lundi 17 août 2009

masque: t'as le look coco

Ce n'est pas parce que la grippe va nous obliger à porter des masques qu'on doit négliger son look. Au japon, ou l'on porte déja des masques depuis un moment, on peut acheter de superbes masques décorés. Et vous que porterez vous cet automne ?




uncrunch america

J'avais zappé un site nommé "uncrunch america". Considérant que la crise (le credit crunch) vient de la faillite du modèle de distribution classique du crédit tel qu'il serait pratiqué par les banques (qui fermeraient les lignes de crédit pour "assainir" leur portefeuille d'encours, ce site souhaite développer le social lending en diffusant cette notion. Ici on demandait aux américains de raconter leurs infortunes liées à la crise du crédit avec une chance de gagner une ligne de crédit "gratuit" de 5.000 $.

Ce site regroupe un partenaire de P2P lending - lending club - (prêt entre particuliers), virgin money pour les prêts plus classiques et quelques sites "connexes" ou sympathisants qui tournent autour des outils de gestion budgétaire par exemple.

Ces tentatives de création d'audience et d'acquisition indirecte de clientèle me semble se multiplier. Sur un autre plan c'est, que je sache la première alliance, entre un offreur financier traditionnel (d'accord c'est virginmoney et cela va bien avec sa volonté de se démarquer) et un "social lender"

lundi 10 août 2009

green card: "alors c'est green ?"

repéré sur springwise.com.
Les cartes plus ou moins vertes avec des dons allant à des associations écologiques pour replanter des arbres par exemple comme une green card (d'ailleurs orange) aux pays-bas (https://www.visagreencard.nl/)

La vague "green" atteint maintenant les "gifts cards" (cartes cadeaux) avec l'apparition de cartes plus écologiques car c'est le support même de la carte (le "plastique") qui devient écologique.

Bonne idée car en effet les américains dépenseraient 65 milliards de $ dans ces cartes souvent "jetables". Certains commencent à recycler ces cartes mais ici (http://www.eco-card.co.uk/) on parle d'une gamme de 4 niveaux de "vertitude" allant jusqu'à la carte bio-dégradable.

jeudi 23 juillet 2009

slowcow innove avec un positionnement tendance anti tendance

trouvé sur springwise: une nouvelle boisson "slowcow" qui se positionne comme relaxante.

Mais au lieu de rester "bêtement" relaxante elle fait le choix de se positionner comme une boisson anti énergétique et n'hésite pas clairement se moquer de "l'autre". Ca a du faire voir rouge au taureau.
http://www.slowcowdrink.com/

à noter: on avait déja eu un mouvement slow food qui jouait clairement de ce type de démarche en se positionnant comme l'anti fast food

5 évolutions qui révolutionnent le marketing

une tribune publiée sur marketing direct:

Twitter, facebook, flashmob,….. nouvel espace, nouveaux échanges, nouvelles règles,… comme il le fait en analysant des « micro-faits » sociétaux révélateurs de tendances, LaSer est à l’affut des dernières évolutions techniques ou des pratiques émergentes impactant le marketing relationnel. Parmi ces tendances on pourrait retenir 5 courants porteurs qui devraient influencer en profondeur les pratiques dans les années à venir : le real-time, l’interactivité, les identités, les communautés, la localisation

Du batch-marketing au real-time marketing : Chaque jour qui séparent notre proposition, l’envie que nous avions su créer, la réponse à un besoin que nous avions su détecter et satisfaire, du moment de l’achat sont autant d’occasions de remettre en cause ce « pré-choix ». De par les contraintes budgétaires subies par les ménages le niveau d’implication des achats va croitre. Ces tensions vont imposer des arbitrages et « élargir » la concurrence entre les postes budgétaires. Chaque décision sera plus pesée. et sera plus fréquemment remise en cause.

Dans l’ intervalle de temps entre notre proposition et l’achat, combien d’offres concurrentes peuvent venir effacer la notre ou détourner l’attention et les ressources vers d’autres besoins ou envies, combien de remises en cause de l’intérêt, de la pertinence, « En ai-je vraiment besoin ? Est ce le moment ? le bon choix ? Mon argent ne serait il pas plus utile ailleurs ? », combien d’influences venant des proches ou de forums ? Une partie de nos actions a donc lieu trop loin de la concrétisation.

Nous devons nous en rapprocher et accompagner jusqu’à l’achat. Ce challenge du marketing de la dernière heure n’est pas loin de la problématique du « dernier kilomètre » rencontré par la logistique, et, comme la « production » a inventé la livraison au dernier moment (le flux tendu) nous devons, nous, passer au « one to when ».

Une vraie interactivité: En magasin, l’animation s’est développée autour de la caisse, lieu incontournable permettant un contact physique. Mais il s’agit le plus souvent d’un monologue a posteriori - un marketing de sortie - et non d’un dialogue avec un client, encore moins avec un prospect – via un « marketing d’entrée » voire d'un « instant marketing » -.

Les nouveaux outils relationnels sont interactifs, fonctionnent à distance et sont disponibles sur un support personnel, convivial, ergonomique, rapide, paramétrable et que vous ne quittez jamais : le téléphone. Le feedback en temps réel via mobile (grace auquel un client peut envoyer une remarque en direct à l’enseigne) est expérimenté par certaines enseignes (Marks & Spencer, Tesco ou Asda) et sont symptomatiques de cette révolution en marche.

Des enseignes aussi différentes que starbuck, toysrus, debenhams, ou le réseau de fidélisation nectar, voire même ce boulanger londonien qui informe ses clients sur http://twitter.com/albionsoven avec un « Fresch croissant maintenant » ou encore des marques telles que danone, pepsi ou coca-cola, se positionnent sur twitter pour échanger avec leurs « suiveurs ».

Les sites de suggestions ou les forums d’échanges entre une marque et des consommateurs, sont un autre signe du changement de nature du dialogue. Ainsi, Starbuck a créé http://mystarbucksidea.com/ orientant d’ailleurs vers ce site les suggestions qu’il reçoit via twitter (http://twitter.com/starbucks),

« one to who » : au delà des personnalités réelles ou fictives, de nos avatars et pseudos dans le monde dit « virtuel »,. nous sommes aussi multiples dans la « vraie vie » (comme si l’autre ne l’était pas). Dépensiers sur certains achats, rationnels, low cost ou hard discount pour d’autres. Nous sommes de plus changeants, puisqu’un achat peut être discount pour le quotidien et luxe pour une grande occasion. Ce « one to who » nécessite la capacité à suivre une même personne dans ses comportements et ses vies, mais aussi à animer, dialoguer, fidéliser des inconnus cachés derrière un de leurs pseudos.

« one to oneS »: Les consommateurs dialoguent, se renseignent et jugent (ex : Sears via http://www.mysears.com/), se regroupant autour de centres d’intérêt éphémères, autour d’un achat par exemple, ou sur des affinités plus pérennes (l’éthique par exemple via http://www.danonecommunities.com/) . Le marketing doit apprendre à dialoguer avec ses leaders d’opinion « polycéphales » que sont ces groupes ou ces "communautés".

« one to where » Maintenant la première phrase n’est plus « Qui est à l’appareil ? » ou « Comment vas-tu ? mais « Allo t’es où ? » Le marketing devra aussi prendre en compte d’où se fait l’échange pour le contextualiser. Peut-on tenir le même discours à un prospect qui surfe depuis chez lui et à celui qui est dans le rayon ? Il faudra construire un vrai dialogue « one to where » créé à un moment, avec une personne, en tenant compte de sa localisation et des possibilités alentour. D’ores et déjà il n’est plus de site qui n’ait une carte (« Où trouver notre magasin le plus proche ? » ). Demain il n’y aura plus de propositions qui ne soient « situées ».

Ces évolutions soulèvent de nombreuses questions, techniques ou organisationnelles, mais aussi et peut être surtout d’éthique ou de privacy.

Inexorablement ces changements s’opèrent déjà. Nous devons les intégrer car pour LaSer, c’est déjà demain

source: marketing direct, tribune de JP Batier

débat autour d'un fichier positif

Certains jugent qu’un fichier positif serait inefficace puisque les ¾ des cas de surendettements sont dus à des évènements de vie (chomage, décès, divorce etc…). Certes l’évènement « déclencheur » de l’accident n’est donc pas prévisible dans ces cas la (contrairement aux cas de surendettement actif).

L’apparition de ces faits déclencheurs n’est pas « prévisible » via les informations incluses dans ce fichier mais est-ce son but ?

Son objectif via la quantification des encours déjà détenus n’est elle pas avant tout la capacité « d’absorption » en cas de choc ? Capacité, elle, objectivable ?

qui sera le 3eme apres visa et mastercard ?

July 8 (Bloomberg) -- European banks, including Deutsche Bank AG and Societe Generale SA, will likely create a group in October to push ahead with plans for a debit-card system to challenge Visa Inc. and MasterCard Inc., Deutsche Bank Chief Operating Officer Hermann-Josef Lamberti said.
les debits cards se développent dans de nombreux pays et le sepa offre aux concurrents de visa et mastercard un terrain de jeu "homogène" et de taille suffisante pour intéresser d'autres intervenants. le 3eme scheme sera t'il issu d'une coalition de banques ou de distributeurs ? Les telco ? paypal ? ou .....
A suivre donc...

tir croisé entre navigo, cartes et téléphone.

il n'y a pas que le téléphone qui puisse être un portail d'acces personnel à un monde de services. En fait tout objet dit communicant peut servir. Votre itouch, la carte de paiement mais aussi les cartes de fidélité ou comme ici les cartes de transports peuvent aussi être des "badges" d'accés à un monde "meilleur":



ici c'est la carte navigo qui pourrait devenir (via mobinear) ce badge:

http://www.echangeur.fr/echangeur/2009/06/mobinear-annonce-une-plateform.php



la fonction transport est clé dans le développement du sans contact et dans le décollage de d'autres utilisations des cartes ou des téléphones. d'un coté les opérateurs de cartes cherchent à mettre du navigo inside (ou d'autres opérateurs de transport pour les grandes métropoles). les opérateurs téléphone idem. tous cherchent comment badger dans les transports avec autre chose que la carte du transporteur ?



Dans l'autre sens les transporteurs se posent la même questions d'enrichir leurs supports d'autres fonctions ? paiera t'on demain ces journeaux chez relay avec sa carte navigo ?

dis papa tu me prêtes ton amex

Pour mettre à disposition une carte de paiement pour ses enfants, on peut lui ouvrir une carte spécifique rechargée automatiquement ou non(type regliss).
Amex prend une autre voie. Donnez à vos enfants une carte "jumelle" de la votre (sur le même principe que la carte conjoint). Mais pour que vous ne vous fassiez pas des frayeurs vous choisissez pour chacune des cartes un plafond spécifique.

source cardtrak:
American Express is targeting teens via new features that turns an AmEx charge card into a family charge card. Parents now have the ability to set spending limits for additional cards on one account. AmEx is also issuing the additional cardholder cards with separate account numbers so that the entire account doesn’t have to be closed when one card is lost. The Company is promoting the new features to encourage families to add their teenagers (15 yrs +) to their account. AmEx says for those over the age of 18, being an additional cardholders on a parent’s account can build a credit history. With the new features cardholders came receive emails or text messages to alert them when a set spending amount is being approached or has been reached on one of their additional cards. The primary cardholders can also modify the spending amount anytime, online or over the phone. Rewards are consolidated from all the cards on the account. The new service is available for the "American Express Card," the "American Express Rewards Green Card," the "American Express Preferred Rewards Green Card," the "American Express Gold Card," the "American Express Rewards Gold Card," the "American Express Preferred Rewards Gold Card," the "American Express Rewards Plus Gold Card," the "Platinum Card," the "Centurion Card." For more information visit: http://www.americanexpress.com/spendinglimits

les marques vont au contact

Quiveutdufromage.com, Ilsjouentlejeu.com, Tartedetoi.com … des noms de domaine qui défient à première vue toutes les lois du web référencement mais qui contre toute attente contribuent à un relationnel ... entre marques et consommateurs … cafaitreflechir.com, vous ne trouvez pas ?
source: http://www.relationclient.net/

Comme quoi on peut créer "autrement" des occasions de contacts entre marque et consommateurs. si cafaitreflechir et tartedetoi sont tres (trop à mon gout) collés au produit et à la marque et sont pour moi une pub de plus par contre "quiveutdufromage" et "ilsjouentlejeu" me semblent plus "fins" dans leur approche en étant plus pret d'une notion de sponsoring

Dans la série "comment creer des occasions de contact" entre une marque et des prospects ou clients: Sears est vraiment une des marques les plus innovantes en termes de relation & communication client avec une façon de plus de "croiser" des clients et des prospects.

Sears propose un site qui remonte le moral:

je vous invite à aller sur "goodnewsnow" (www.gnn.com) ne présente que des bonnes nouvelles du monde et de belles histoires comme ces personnes qui aident à rattraper un voleur, cet star qui amène des enfants déshérités dans un parc d'attraction, ou cette lettre de déclaration d'amour retrouvée 16 ans plus tard ou, et c'est moins gai, ce gamin qui vend ses jouets pour aider sa famille.

En cadeau il y a sur ce site un compte à rebours à week-end ;)

allez sur : http://www.gnn.com/

biggoogle is watching you: souriez vous êtes suivis

Apres le search, les mails, l'explorateur et bientot le système d'exploitation des ordis (les mobiles c'est fait), la mesure de votre consommation d'énergie ou les tentatives de credit scoring. google continue sur sa lancée.
Google t’attribue un numero de téléphone personnel à vie. Tu paramètres dans ton profil vers quels "postes téléphoniques" (maison, bureau, portable) rebasculer tes appels entrants (selon l'appelant). Par exemple: les appels de ta famille basculent sur les 3 (maison bureau mobile et tu décroches sur celui que tu veux), et pour les appels professionnel cela sonne uniquement sur les téléphones bureau et mobile.
descriptif bien fait: de google voice sur http://www.2803.fr/logiciel/des-invitations-pour-google-voice-la-telephonie-version-google-6240/

plusieurs remarques s'imposent
la question toujours délicate du Business model pour google. Visiblement tout ceci s'inscrit dans la démarche "globale" de l'éco-système de google ou tout concourre à une vision 360° du client qui se rentabilise apres par une qualification et donc une valorisation d'audience.

Un deuxiême point n'est pas encore clair: quel cout pour le client puisque si voice est gratuit, les communications, elles, ne le sont pas. Or dans ce concept on peut vouloir appeler un fixe (via une box c'est "gratuit" comme on dit), alors que basculer vers un mobile sans le savoir peut engendrer des couts.

le 3eme point est, bien sur, la réaction des opérateurs.
Un dernier point: la question de la privacy se pose clairement dans un monde "googlisé": "biggoogle is scanning you": explorateur internet qui suit votre "surf", mail passant par google, géolocalisation via mobile, gestion des numéros de téléphone, analyse de la consommation d'énergie via powermeter ( voir http://www.webrankinfo.com/dossiers/produits-google/powermeter)

remarque complémentaire:
Comme disait starmania il y a 30 ans "dans les villes de l'an 2000 on aura tous un numéro dans le dos"

attribuer un numéro de téléphone personnel à vie, c'est un identifiant par individu. quelque chose comme une adresse IP personnelle avec tout ce que cela peut vouloir dire en positif ou en négatif.

Rappellons qu'aujourd'hui vous disposez déja d'un numéro unique (votre numéro de sécu) mais son utilisation est interdite.