vendredi 18 décembre 2009

Payer son parking avec un mobile: C'est Issy et maintenant

... Depuis le 15 décembre, payer par téléphone mobile son stationnement est désormais possible. Plus besoin de monnaie ! Vous payez seulement la durée exacte de votre stationnement et, en cas de besoin, vous pouvez prolonger à distance votre durée de stationnement. Cela se passe à Issy-les-Moulineaux,...


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les leçons d'un lancement d'apps

Un très bon article instructif sur businessmobile.fr
Par Olivier Chicheportiche mailto:olivier.chicheportiche@cbs.com


businessMOBILE.fr le 17 décembre 2009

De l'idée de départ à la vente sur l'App Store, des négociations avec Apple aux espoirs déçus, une jeune équipe française dévoile ses secrets.
On le sait, l'App Store d'Apple est une formidable place de marché pour les éditeurs d'applications et les développeurs. Et pour certains, l'histoire se transforme en véritable jackpot.
Pour autant, si on compte plus de 100 000 applications dans la boutique, une faible minorité se paye la part du lion en termes de ventes et donc de revenus. Pour les autres, la partie est parfois plus difficile, malgré une bonne idée de départ.
Quelle est la réalité pour ces développeurs et ces petites équipes en quête de succès ? Ils sont peu nombreux à livrer leurs secrets. Une équipe française a donc décidé de lever le voile sur l'arrière boutique de l'App Store. De quoi tirer un bon nombre d'enseignements pour éviter des erreurs qui peuvent être très pénalisantes.
Merci à Simon Dawlat, chef de projet et créateur du site applicationiphone.com pour ces informations.

Genèse de l'application iPilule

Imaginée par une petite équipe de 4 personnes, l'application payante iPilule exploite une bonne idée : une alarme intelligente et qui rappelle aux filles de prendre leur pilule contraceptive, via des notifications push et de manière adaptée à leur cycle menstruel. En moins d'un mois, l'application est développée.

Plein d'espoirs, l'équipe de développement croit à la force de son projet : "En visant les blogs dédiés à l'iPhone, les magazines féminins/santé/style de vie et les blogs de fille, nous avions de bonnes chances de toucher les acheteuses potentielles de l'application", écrit Simon Dawlat.

Les quatre partenaires sont néanmoins réalistes et estiment la population susceptible d'acheter l'application à 148 500 personnes. "Dans l'absolu : c'est très peu. Si on part du postulat qu'on réussira à toucher 10% de ces femmes (14 800) via notre communication, et à en convertir en clientes, mettons, 5% (7040), cela nous fera 7 040 x 0,79 € = 5 561 € de revenus potentiel".

En retirant la dîme d'Apple, on atteint 3 893 euros. "Qu'à cela ne tienne, convaincus de notre idée et surtout de notre capacité à la réaliser ayant réuni une team aux talents parfaitement complémentaires, on lance le projet", explique le chef de projet.

Les débuts sont rassurants. Contrairement à ce qui se dit, la validation de l'application par Apple ne prend pas trop de temps, 19 jours pour être précis. Le même jour, l'application est donc officiellement en vente sur l'App Store.
Mais à ce moment, l'équipe de développeurs commet sa première erreur en ne communiquant pas pour des "raisons personnelles et logistiques". "Du coup, nous ratons le pic de ventes qui arrive à toute application au moment de sa sortie, puisqu'elle passe en page d'accueil de sa catégorie dans l'AppStore (également agrégée en 'nouveautés' par des dizaines de sites dans le monde qui reprennent automatiquement les données de l'AppStore). Et nous passons à coté de cette impulsion dans les ventes, qui se fait sans nous", note le chef de projet.
Le résultat est sans appel : après 11 jours de commercialisation, iPilule a été téléchargé seulement 112 fois, soit un chiffre d'affaires royal de 61 euros pour l'équipe.
1er enseignement : exploiter au maximum la visibilité de l'application dès les premiers jours.
La suite des événements est à l'avenant. "Je reçois un inquiétant email via Apple le 4 décembre évoquant la possibilité d'un conflit de copyrights avec l'application d'un autre développeur. Je contacte ce dernier rapidement pour tenter d'éclaircir la situation et si possible régler ce problème à l'amiable. Il s'avère que ce développeur pense qu'Apple retire de l'AppStore toutes les applications aux concepts trop similaires - une confusion avec le fait qu'Apple a tendance à retirer les applications trop similaires aux siennes.
Le dialogue est peu cordial mais existant et nous sommes accusés par ce développeur de l'avoir copié honteusement. Des commentaires négatifs fleuriront par la suite sur presque tous les articles parlant d'iPilule et même dans l'AppStore, auxquels nous décidons de ne pas répondre".
2e enseignement : analyser l'existant avant de développer une application

L'équipe d'iPilule avait bien repéré des applications rendant le même service. Mais elle avait considéré qu'en proposant un produit plus complet et plus efficace, elle éviterait ce type de problèmes. Raté.
Dans le même temps, malgré une offensive de communication, les ventes peinent à décoller : seulement 24 ventes sont réalisées en une semaine. La déprime gagne l'équipe...
Mais les efforts commencent à porter leurs fruits notamment grâce à la publication d'articles dans la presse spécialisée en ligne. Les ventes grimpent à une centaine par jour ce qui permet à l'application de se hisser en troisième position du classement de la catégorie Styles de Vie de l'App Store. Le cercle vertueux se referme.
Par contre, la publication d'une brève dans le magazine Elle (qui tire pourtant à 300 000 exemplaires) n'a pas d'effets ponctuels sur les ventes. Ce qui constitue une surprise et une déception.
3e enseignement : le travail de relation-presse est plus rentable sur internet
le travail de relation presse semble stratégique, notamment pour des applications très spécialisées. Mais visiblement, la presse en ligne semble beaucoup plus 'rentable' que la bonne vieille presse papier.

"La logique d'un lancement fort, combinant des relations presse et de la publicité sur des sites spécialisés, pour monter dans les classements de l'AppStore, est un procédé dont l'efficacité est désormais avéré", souligne le chef de projet.

En fait le salut viendra d'Apple himself qui décide de placer iPilule en première page de l'App Store. Résultat, les ventes bondissent de 70%. Mais si le bilan s'améliore : 1059 ventes en 10 jours, soit 585 euros pour l'équipe, les résultats demeurent encore faibles.
"Vivre de l'AppStore n'est pas chose aisée puisque pour le moment, après commission d'Apple et avant impôts, iPilule nous a rapporté exactement 660 euros", observe Simon Dawlat.
Le jeu en vaut-il alors la chandelle ? Pour Simon Dawlat, excepté les erreurs de jeunesse commises, la clé du succès se trouve peut-être dans la déclinaison de l'application. "Une logique globale est essentielle - si notre 'succès' avait été répliqué dans 10 autres pays dont les US, nous serions riches à l'heure qu'il est ! Malheureusement, malgré une application traduite en 7 langues (!) nos efforts hors de France sont restés vains, et les ventes dans les autres Stores, quantités négligeables".

Bref, la route est longue jusqu'au succès, et il faut y mettre le prix

http://www.businessmobile.fr/actualites/services/0,39044303,39711644,00.htm

les outils et apps de paiement se multiplient. Ala fin je fais comment pour payer ?

mpayy propose une apps Android pour payer. A la fin face à la multiplication des apps en général et des apps de paiement en particulier il va devenir compliqué de s'y retrouver entre toutes ses propositions (fournisseurs d'accés ou opérateurs - orange, free, etc... , fournisseurs de paiements comme les outils ci-dessous, les "anciens grands réseaux" visa mastercard, amex etc..., les banquiers, les sociétés financières, les retailers et leurs cartes "privatives", les e-commerçants). help je veux juste payer.
https://www.mpayy.com/mobile-payment-solutions/android-application

will we be sorry too ?



mardi 15 décembre 2009

je dépense donc tu suis: achats exhibitionnistes

Jusqu'ou iront certains dans la course effrénée à l'exhibitionnisme. Apres ce que je fais ou je suis comment je vais et autres twits passionnants, un site se lance en version beta pour vous permettre de montrer à vos amis vos dépenses. Bref ça revient à twitter ses achats. je suis sur que cela passionnera tout le monde et vos copains de savoir combien vous dépensez chez monop, ou à la fnac, virgin ou autres amazon. c'est trop cool comme dirait l'autre.
http://www.blippy.com/
source: techcrunch: http://www.techcrunch.com/2009/12/11/blippy/

paiement sans contact: nokia se lancerait en 2010

NFC Nokia se lancerait l'an prochain car ils anticiperaient une diffusion large au UK en 2012
Nokia Industry Collaborations VP Mark Selby told Mobile: "Nokia is anticipating multiple NFC-enabled devices, which won’t all be at the high end of the market. Our plan is to see NFC in lots of devices, not just smartphones."
Selby declined to say when or how many NFC devices Nokia plans to launch, but said he anticipated that UK consumers will be widely using NFC devices by 2012.
One source close to Nokia said: "In Q3 and Q4 of next year we will see Nokia going into NFC in a big way. They will be bringing forward a lot of phones with embedded NFC
source: http://www.nearfieldcommunicationsworld.com/

jeudi 3 décembre 2009

mini questionnaire et maximiles -isation de de la valeur

pour noel maximiles nous offre un questionnaire de qualification en collectant des informations sur les projets des adhérents au delà des cadeaux que l'on souhaite offrir en cette fin d'année. Ainsi mon intention de changer de voiture, mon envie de changer de banque (ou d'opérateur téléphonique, ou encore mes habitudes de voyages semblent les intéressés. Rien de bien nouveau ou de révolutionnaire me direz-vous. Il n'empêche. La qualification des porteurs ou adhérents et donc l'accumulation d'information reste la matière première de ces systèmes (en plus des données comportementales).


Tout naturellment, les projets des "gens" passionnent donc de plus en plus d'intervenants. Car au delà du people project d'orange, plusieurs sites proposent des "planners" qui visent à nous aider dans la réalisation de ces envies, leur organisation ou leur financement. Ainsi chase (une fois de plus) avec son gift planner (application i-phone bien sur)(http://itunes.apple.com/us/app/gift-planner/id296890813?mt=8)

L'informatique réchauffe les coeurs

Selon reuters les Finlandais vont installer un data center dans leur capitale. On avait déjà parlé de déplacer les data centers vers le nord pour profiter du climat pour refroidir les centres informatiques. La, l'informatique va réchauffer Helsinki. Tous les grands consommateurs d'informatique travaillent sur "l'écologisation" de leurs centres. Pourquoi ne pas déplacer vos data-centers ?
Par ailleurs Google a couvert le toit d'un de ses data-centers de panneaux solaires et couvre 30% de ses besoins. Et vous quelle surface de toit ?
http://images.jimonlight.com/wp-content/uploads/2009/07/gp1.jpg

mure pour le sans-contact ?

Au canada Mastercard va tester un sticker paypass pour blackberry. Pas bête: Un achat déclenchera un mail automatique de confirmation

Carte de paiement verticale: une carte à jouer ?

Fiserv lance une nouvelle façon de designer les cartes de paiement en présentant une lecture verticale. Cela ne change bien sur rien aux fonctionnalités de celle-ci mais ça fait parler, c'est différent et ça ouvre de nouvelles pistes "créatives" pour de nouveaux graphismes

debit card & debit boisson

Le business model d'un système de fid sur une carte de débit est un exercice intellectuel un peu ardu. Alors que les systèmes de fid en général sont mis à mal par la crise économique et que les banques américaines (ex capital one) reculent devant l'obstacle "programme de fid sur debit card", perkstreet se lance dans l'aventure (http://www.perkstreet.com/).
Leur objectif affiché: s'approcher du taux de récompense des credit cards. Leur BM annoncé: l'absence d'agences. Ils oublient entre autres de parler du float, des fees sur le découvert (à ce propos "l'assurance" anti-découvert et du même montant que les pénalités en cas de découvert) ou les frais en cas d'inactivité de la carte (voir les FAQ sur le site)
Le taux de récompense est de 1$ pour 100$ dépensés. Les "points ou $" sont convertissables en cash back (100$ = 1$), en téléchargement de musique (100$ = 1 chanson) mais aussi en café starbuck. L'exercice de style en termes de communication se gate car la promesse est 200$ = 1 café
L'addition (200$ le café) et le café sont peu salés, même si plus loin dans le site on vous explique qu'en dépensant 1000$ par mois vous allez avoir 60 cafés starbuck par an.